jeudi 28 juin 2018

Soyez Courageux


Bi1 ti1 2 ri1, b1 ti1 !
Des personnes apparemment sensées se sont penchées sur les jeunes et leur niveau mental. Ce n’est pas une mince affaire, je le conçois !  Il faut tenir compte de plusieurs données sur une période assez longue etc. Et ils en ont déduit que les jeunes « d’aujourd’hui » sont moins intelligents et ne savent plus écrire. 

Naturellement, les jeunes présents ont objecté : « Sert1 ke se né pa vré ! » 
Sur ce, les uns sensés ont exposé aux autres insensés d’où venaient leurs certitudes : 1) de leurs messages écrits en texto et 2) ils ne lisent plus les livres.  

Alors, j’ai réfléchi. Il est vrai que les texto que je reçois sont écrits ‘façon mise en facteur’, raccourcis et mêlés de chiffres, différente de celle que j’utilise pour répondre : le mot entier qui s’accorde dans une phrase complète. Pas de 2 pour des de et aucun ri1 pour rien.
Une autre constatation : dans les salons, jamais un jeune n’est venu m’acheter un livre ! Mais, là, je ne peux rien dire ; j’écris des polars, pas de la littérature jeunesse. En même temps, je ne peux pas dire que dans les salons les jeunes se bousculent ! Même autour des stands bédé c’est calme. 

Peut-être que ces sociologues ont raison. Les gadgets électroniques nous ont volé le plaisir de faire, de lire, de compter, d’imaginer, d’écrire et de conter… et bientôt de rêver ! 

Mais, avant l’abrutissement total, je vous propose de lire « Le Cas Nonnenbruch », un livre sur la rencontre du passé supposé et du présent souhaité, teinté d’écologie et de biodiversité à défendre. 

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jeudi 21 juin 2018

Demain se prépare aujourd'hui


A lire mon dernier post, je serai en vacances durant trois mois ! Si, si, vous pouvez le relire. Il parle de vide et donc de « vacance ».
Toutefois, il n’en est rien. Un bon animateur possède toujours des sujets d’avance ; comme le joueur d’échecs, il a plusieurs coups d’avance ! 

Pour ma part, je n’irai pas jusque-là mais, si je veux donner un travail à faire, je l’essaie d’abord. 
Et, pour écrire un texte, une poésie, un aphorisme, etc. il faut avoir « des » sujets de texte déjà prêts. Ce qui implique une recherche, pour commencer, des informations, qui prennent beaucoup de temps, et une action chronométrée, pour éviter un trop plein de travail car, pour nous, ne l’oublions pas, écrire est un loisir.  Cela ne doit pas prendre plus de place-temps que celui que nous pouvons lui accorder. (A réfléchir.)

J’effectue donc une étude sur les façons de procéder pour ne pas brusquer les adhérents.
Apparemment, vu le nombre des adhérents en augmentation constante, « ça marche ! » 
Ainsi, je vous donne rendez-vous le jeudi 04 octobre 2018, de 15 à 17 heures à Schlierbach et à l’Espace 110 d’Illzach de 20 à 22 heures. 

En attendant de vous faire travailler… je travaille pour vous. Trois mois ! Dur, dur… 

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jeudi 14 juin 2018

Animateur Bénévole en Congés


Depuis quelques années, je suis animateur d’un atelier d’écriture pour une association « loi 1901 ». J’invente des sujets pour faire écrire les amoureux des mots, les fanas de littérature ou de futurs vrais écrivains. Je m’occupe en occupant les autres. Et, ce soir, c’était le dernier atelier d’écriture de la saison. 

En une année, on finit par se connaitre un peu. Mais, même si on ne se connait pas tous profondément, c’est quand même triste de se dire que pendant trois mois, on ne se verra plus. 

On se pose des questions. Ont-ils aimé ma façon d’animer ? Ont-ils pris plaisir à développer les sujets que j’ai apportés ? De plus, reviendront-ils tous pour la rentrée ? Qui va manquer et pourquoi. 

Voilà plusieurs années que je fais l’animateur. Le début d’année est difficile ; il faut donner des marques aux participants, souvent les mettre sur les bonnes voies, rassurer certains et calmer d’autres, etc.   Et, arrivés en fin d’année, alors qu’on a pris un bon rythme de groupe, on arrête et on se sépare. Ce n’est pas facile non plus. 

Alors, on se laisse une adresse mail, un numéro de téléphone… et on se reverra en septembre. C’est triste, non ? 

En attendant, vous pouvez acheter nos livres sur Lulu.com, il suffit de taper lulu.com/patrick/vittorio/nonnenbruch et de cliquer sur les propositions qui vous sont offertes : 1 histoire ou 3 histoires réunies dans 1 seul livre. Bonne lecture.
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vendredi 8 juin 2018

Retourner la crêpe


Les gens qui pensent bien faire, bien souvent, sont néfastes. Ils partent avec l’intention de vous faire du bien mais oublient votre environnement, votre parcours, votre vie par rapport aux autres. 

Ainsi, à l’atelier d’écriture que j’anime, une personne m’a coupé la parole « pour m’aider » car elle trouvait que je n’étais pas assez pédagogue. 
Elle voulait sincèrement m’aider et pallier à cet état, qu’elle ressentait, de manque. 

Je l’ai laissée faire. Je l’ai laissée parler et j’ai même soulevé quelques points qu’elle a pu étoffer. Nous avons pris un peu de retard mais, je l’ai laissée s’exprimer et j’ai favorisé sa prise de parole. Pourquoi ? 

Parce qu’on fait de la pédagogie envers les enfants et je ne suis pas là pour faire de la pédagogie. Mon atelier est composé d’adultes. Je fais du management. Je gère. 

On ne réagit pas avec un adule comme on le ferait avec un enfant. On ne les fait pas travailler de la même façon. (Hormis pour quelques-uns qui sont restés très enfants !)  
 Et donc, cette personne qui, partant d’un bon sentiment, pouvait me « casser la baraque » a attiré une attention sur elle me soulageant d’un poids qui pouvait être lourd en fin de saison. 

En fin de compte, elle voulait m’aider et elle y est parvenue… mais pas par le chemin qu’elle voulait emprunter mais par celui sur lequel je l’ai amenée, celui qui pouvait m’apporter l’autorité dont j’ai besoin pour continuer à animer. 

Pas facile de gérer des adultes !  

Ce qui me rappelle le rôle du journalise ou écrivain dans le livre « L’Autre Face est Morte… Elle ! » par rapport à Patrick, l’ami sincère de Bernard. (Voir notre polar, le relire ou, au besoin, l’acheter ; nous serons au Super U de Pfastatt le 09/06/2018 de 09 à 17 heures)  

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Rapport de la Première Journée

Quand on est en dédicace, la première journée est toujours celle où on travaille le moins. C’est en tout cas   ce que je vois sur mon ...