jeudi 26 avril 2018

Mettre de l'eau dans son vin ; sacrilège !


Au vu de la ressemblance physique et rigide de ses écrits, on peut dire que Patrick est Picasso. Vittorio, par contre, est Dali puisqu’il porte une moustache et croit que le temps est élastique. 
Je pense que le tableau de David Vela Cervera, sur ces deux personnages illustres, leur va bien.

 Mais, si on suppose que l’œuf est un polar (roman œuf) , comment peut-on qualifier leurs polars faits ensemble ? (Je rappelle que chacun a un caractère fort et qu’aucun des deux ne cède à l’autre sur sa façon d’écrire.) Doit-on les comparer à ‘une omelette en tranches de chapitres truffée (si je peux dire) de champignons-doutes et de gruyère-mystère qui s’étale’ ou alors à ‘un œuf minuteur façon poupées russes dont la solution vous explosera à la figure lors du déballage de la dernière mini-poupée car le minutage était réglé pour vous tromper’ ?   
 
Pour le savoir, il faut acheter « L’Autre Face estmorte… elle ! » ; « Meilleurs Souvenirs deBelfort » ; « Le Cas Nonnenbruch » ou les trois en un

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samedi 21 avril 2018

Vittorio DI MARCO: La culture est une récompense

La culture est la cerise sur le gâteau. Mais, quand on n'a pas de gâteau... 1 seule cerise c'est bien peu. 



Vittorio DI MARCO: La culture est une récompense: Il n'est pas donné à tous de pouvoir se cultiver et, quand certains refusent la culture, on peut se demander pourquoi.  Les raisons...

mercredi 18 avril 2018

La lecture que je préfère

Nous étions dans un salon du livre, à Belfort. 

Je prends en main un livre ; la couverture avait attiré mon attention. L'auteur ne me dit rien. Je tourne le livre pour lire la quatrième de couverture. L'auteur ne dit toujours rien. 

A ce stade, je me demande s'il veut le vendre, son livre ! 

Devant ce silence, je lui demande : "Il parle de quoi ?" Après une hésitation, il me dit : "C'est un polar !" Je dois me contenter de ces 4 mots. 

Il a raison. Il n'y a pas besoin d'explication. Je sais ce qu'est un polar, moi-même j'en écris. Il est auteur, je suis auteur, nous n'avons pas besoin de vanter ce que nous présentons, du moins, entre-nous. 
Et puis, sa discrétion me plait. 

Je lui dis : "D'accord, je l'achète." Et là, du tac au tac, il me répond : "Il n'est pas à vendre." 
Je suis étonné. Pourquoi le mettre sur le présentoir si ce n'est pas pour le vendre ? Mais, il continue : "C'est le dernier qui me reste. Je vous le donne." 

Il me fait une dédicace, je prends le livre, je dis merci et je vais m'assoir à la place qui m'était affectée. J'ouvre le livre et lis la dédicace : "Bonne chance". 

Le jour suivant, nous avons décidé de faire des polars ensemble. 

Rapport de la Première Journée

Quand on est en dédicace, la première journée est toujours celle où on travaille le moins. C’est en tout cas   ce que je vois sur mon ...